En fin de semaine dernière un tigre, qui normalement vit dans la forêt (Sundarbans), est arrivé dans un village. Il était apparemment effrayé et s’est réfugié sur le toît d’une maison. C’était l’attraction de la journée mais malheureusement je n’ai pas pu aller le voir.
Ils ont finalement réussi à le mettre dans une cage et ont fini par le tuer. C’est normalement une espèce protégée. La raison invoquée est que si ils le remettaient dans la forêt il allait revenir ensuite dans le village, et tuer des gens...
Bon sinon il ne se passe pas grand chose de passionnant dans les environs !
Ah si, ces 2 derniers jours il y a avait un tournoi de badminton (sport très pratiqué ici). Le problème est que le terrain est juste en face de la maison, il y a énormément de monde, un speaker avec un micro, donc c’est très bruyant et ça dure jusque tard dans la nuit.
Enfin ce n’est pas pire que l’appel à la prière au milieu de la nuit.
Côté boulot on a commencé l’assessment, c’est-à-dire l’évaluation des besoins. Les équipes vont sur le terrain faire du porte à porte pour poser des questions, ce qui permettra de choisir les bénéficiaires, selon des critères de vulnérabilité. Le problème est que l’on n’a qu’une des 3 branches de l’équipe pour le moment, faute de candidats pour les autres postes. Une nouvelle session de recrutement est en cours (avis à tous ceux ayant des connaissances en construction , forages ou filtre à sable !)
La maison commence à être un peu plus équipée. On a maintenant des moustiquaires, et bientôt des tables et des étagères. Et le recrutement de la cuisinière est en cours.
Je suis en train d’étudier les différentes possibilités pour avoir de l’eau correcte à la maison car l’eau qu’il y a provient d’un pond dans lequel retournent a priori une bonne partie des eaux usées. Elle est jaune, turbide et salée...Ca ne donne pas trop envie de se laver !
mercredi 27 janvier 2010
vendredi 22 janvier 2010
Recrutement
Ca y est, j’ai recruté des gens pour la première fois de ma vie !
Mon assistant avait déjà été recruté avant mon arrivée, il a déjà travaillé pour Solidarités.
J’ai recruté un Shelter Officer, qui sera en charge de la partie construction d’abris du projet, et un Watsan Officer qui sera en charge de la partie eau et assainissement (forages, filtres à sable, latrines, promotion à l’hygiène…) Ce sont des ingénieurs qui viennent d’autres districts du pays, ils ont déjà travaillé pour des ONG ou pour la Croix Rouge / Croissant Rouge.
Ils ont passé un test technique et j’ai dû faire des entretiens téléphoniques en anglais…Entre mon anglais pas terrible, mon accent et le leur, ce n’était pas évident ! J’espère qu’on s’est bien compris, et qu’ils vont effectivement venir (ils devraient arriver dans 10j et 3 semaines).
On recrute maintenant pour les techniciens, charpentiers et promoteurs à l’hygiène. On essaie de recruter en local mais dans l’ensemble ils n’ont pas de qualification. Le problème c’est que le projet est assez court et doit commencer très vite (sinon les bailleurs ne sont pas contents) et donc on n’a pas le temps de les former. Je trouve ça un peu dommage, mais c’est comme ça dans les ONG d’urgence…
Les entretiens se font en bangla, donc je ne comprends rien…En plus pour les abris, je n’y connais rien ! J’apprends sur le tas comment faire un abri le plus anticyclonique possible.
Je vais donc avoir une équipe de 16 personnes. La base sera constituée de 26 personnes en tout, dont 3 expats. On fait ensuite appel à des sous-traitants et des travailleurs journaliers issus de la communauté des bénéficiaires pour la réalisation des travaux.
J’espère avoir au moins une femme dans mon équipe mais ce n’est pas gagné. Pour les postes techniques aucune n’a postulé, qq unes pour les promoteurs à l’hygiène mais elles ne connaissent pas du tout le boulot. J’ai fait un entretien pour le watsan officer avec une femme mais elle ne parle quasiment pas anglais (pour ce poste c’était demandé, et elle a postulé en anglais), elle construit des routes, rien à voir avec l’eau, et elle demande un salaire de fous alors qu’elle n’a pas d’expérience !
C’est vraiment pas évident d’être une femme ici. Dans la rue, on ne voit quasiment que des hommes, ce sont eux qui tiennent les magasins, les restaurants…
Quand je suis allée sur le terrain avec mon assistant les gens lui serraient la main, mais pas à moi…On reparlera plus tard de cet aspect, j’aurai sûrement des anecdotes à raconter !!
Mon assistant avait déjà été recruté avant mon arrivée, il a déjà travaillé pour Solidarités.
J’ai recruté un Shelter Officer, qui sera en charge de la partie construction d’abris du projet, et un Watsan Officer qui sera en charge de la partie eau et assainissement (forages, filtres à sable, latrines, promotion à l’hygiène…) Ce sont des ingénieurs qui viennent d’autres districts du pays, ils ont déjà travaillé pour des ONG ou pour la Croix Rouge / Croissant Rouge.
Ils ont passé un test technique et j’ai dû faire des entretiens téléphoniques en anglais…Entre mon anglais pas terrible, mon accent et le leur, ce n’était pas évident ! J’espère qu’on s’est bien compris, et qu’ils vont effectivement venir (ils devraient arriver dans 10j et 3 semaines).
On recrute maintenant pour les techniciens, charpentiers et promoteurs à l’hygiène. On essaie de recruter en local mais dans l’ensemble ils n’ont pas de qualification. Le problème c’est que le projet est assez court et doit commencer très vite (sinon les bailleurs ne sont pas contents) et donc on n’a pas le temps de les former. Je trouve ça un peu dommage, mais c’est comme ça dans les ONG d’urgence…
Les entretiens se font en bangla, donc je ne comprends rien…En plus pour les abris, je n’y connais rien ! J’apprends sur le tas comment faire un abri le plus anticyclonique possible.
Je vais donc avoir une équipe de 16 personnes. La base sera constituée de 26 personnes en tout, dont 3 expats. On fait ensuite appel à des sous-traitants et des travailleurs journaliers issus de la communauté des bénéficiaires pour la réalisation des travaux.
J’espère avoir au moins une femme dans mon équipe mais ce n’est pas gagné. Pour les postes techniques aucune n’a postulé, qq unes pour les promoteurs à l’hygiène mais elles ne connaissent pas du tout le boulot. J’ai fait un entretien pour le watsan officer avec une femme mais elle ne parle quasiment pas anglais (pour ce poste c’était demandé, et elle a postulé en anglais), elle construit des routes, rien à voir avec l’eau, et elle demande un salaire de fous alors qu’elle n’a pas d’expérience !
C’est vraiment pas évident d’être une femme ici. Dans la rue, on ne voit quasiment que des hommes, ce sont eux qui tiennent les magasins, les restaurants…
Quand je suis allée sur le terrain avec mon assistant les gens lui serraient la main, mais pas à moi…On reparlera plus tard de cet aspect, j’aurai sûrement des anecdotes à raconter !!
jeudi 21 janvier 2010
carte de visite!
Bon on ne voit pas grand chose, je ne sais pas si vous pourrez agrandir la photo (je ne suis pas très douée pour la mise en page....)
Dès que le courant revient j'essaierai de scanner la version anglaise!
mardi 19 janvier 2010
Petit déjeuner bangladeshi
Un petit point nourriture, ça intéresse souvent beaucoup les gens !
Ce matin j’ai pris mon premier petit déjeuner local : des galettes faites à base de farine de blé, cuites dans l’huile, des œufs frits avec des oignons (mais sans les épices, sinon c’est immangeable pour moi), des lentilles avec des légumes (un mélange pas mauvais du tout) et du thé. C’était très bon, peut-être un peu lourd…
Sinon le repas traditionnel auquel on a droit tous les midis et tous les soirs : du riz, avec du poisson ou du poulet. Le poisson est très bon. Souvent il y a aussi des tomates, des carottes, et des sortes de pommes de terre. Le tout est souvent assez épicé. J’ai mangé un minuscule morceau de piment et j’ai mis un bon moment à m’en remettre.
Il y a partout ici des élevages de crevettes et crabes mais tout part pour l’exportation. Ici ils n’en mangent pas. Apparemment les musulmans ne mangent pas de crustacés, mais je ne suis pas sure d’avoir bien compris.
Pour l’instant on mange dans des restaurants locaux, et mon estomac y résiste. On mange avec les mains, sans couverts.
Il y a peu de desserts. J’ai goûté une espèce de crème avec un fort goût de lait concentré sucré, très lourd et très sucré. Sinon ils font de petits gâteaux secs et des sortes de sablés qui sont assez bons.
Le problème est que nous sommes, avec la logisticienne Carole, les 2 seules étrangères, et blanches, dans le coin. On fait donc l’attraction et les gens nous regardent manger, c’est assez bizarre.
Maintenant qu'on a notre appart on va pouvoir engager une cuisinière et manger peut-être un peu plus diversifié!
Ce matin j’ai pris mon premier petit déjeuner local : des galettes faites à base de farine de blé, cuites dans l’huile, des œufs frits avec des oignons (mais sans les épices, sinon c’est immangeable pour moi), des lentilles avec des légumes (un mélange pas mauvais du tout) et du thé. C’était très bon, peut-être un peu lourd…
Sinon le repas traditionnel auquel on a droit tous les midis et tous les soirs : du riz, avec du poisson ou du poulet. Le poisson est très bon. Souvent il y a aussi des tomates, des carottes, et des sortes de pommes de terre. Le tout est souvent assez épicé. J’ai mangé un minuscule morceau de piment et j’ai mis un bon moment à m’en remettre.
Il y a partout ici des élevages de crevettes et crabes mais tout part pour l’exportation. Ici ils n’en mangent pas. Apparemment les musulmans ne mangent pas de crustacés, mais je ne suis pas sure d’avoir bien compris.
Pour l’instant on mange dans des restaurants locaux, et mon estomac y résiste. On mange avec les mains, sans couverts.
Il y a peu de desserts. J’ai goûté une espèce de crème avec un fort goût de lait concentré sucré, très lourd et très sucré. Sinon ils font de petits gâteaux secs et des sortes de sablés qui sont assez bons.
Le problème est que nous sommes, avec la logisticienne Carole, les 2 seules étrangères, et blanches, dans le coin. On fait donc l’attraction et les gens nous regardent manger, c’est assez bizarre.
Maintenant qu'on a notre appart on va pouvoir engager une cuisinière et manger peut-être un peu plus diversifié!
lundi 18 janvier 2010
Quelques photos
Premières visites sur le terrain
http://picasaweb.google.fr/Sarah90300/Shyamnagar02#
http://picasaweb.google.fr/lh/sredir?uname=Sarah90300&target=ALBUM&id=5427752850751776369&authkey=Gv1sRgCMaSg9DImN6qpAE&feat=email
http://picasaweb.google.fr/Sarah90300/Shyamnagar02#
http://picasaweb.google.fr/lh/sredir?uname=Sarah90300&target=ALBUM&id=5427752850751776369&authkey=Gv1sRgCMaSg9DImN6qpAE&feat=email
vendredi 15 janvier 2010
Sur la route de Shyamnagar
Jeudi j'ai fait en minibus la route de Dhaka à Shyamnagar, soit plus de 8 heures sur des routes certes en assez bon état, mais surchargées et pas très larges.
D'habitude le trajet se fait en partie en avion, mais j'ai eu l'immense avantage de ramener de la capitale du matériel, d'où le minibus.
C'est assez impressionnant car il y a du monde partout. Sur les 8 heures de route il n'y a pas eu une seule portion sans un monde fou sur et à côté de la route: vélo, camions, bus, voitures, piétons... Pour dépasser c'est à celui qui se rabattra le plus tard (il n'y a qu'une voie dans chaque sens). Bref qq émotions pendant ce trajet. On a aussi pris un ferry pour traverser le fleuve Padma car il n'y pas de pont.
A niveau paysage: des rizières et des champs la plupart du temps.
Shyamnagar c'est un peu le bout du monde, on a l'impression de ne jamais y arriver. C'est une petite ville, mais avec du monde partout!
Solidarités a loué un bureau mais pour le moment nous n'avons pas de maison alors on campe dans le bureau. Mais on a des lits et des matelas depuis hier soir donc ça se passe bien.
J'ai pu tester un restaurant local, apparemment ils sont tous pareils. Au menu: riz, poisson ou poulet, oeufs.
Ici on se déplace en taxi-vélo. C'est un vélo avec une plateforme à l'arrière où on peut monter à 4. Ils s'en servent aussi pour tout transporter, y compris les lits!
Au progamme de ce week end (et oui le week end c'est vendredi-samedi): du boulot! Il faut recruter rapidement si on veut commencer à travailler. Et demain je pense faire une petite visite terrain des villages où nous allons intervenir.
Alors à bientôt, avec des photos!
D'habitude le trajet se fait en partie en avion, mais j'ai eu l'immense avantage de ramener de la capitale du matériel, d'où le minibus.
C'est assez impressionnant car il y a du monde partout. Sur les 8 heures de route il n'y a pas eu une seule portion sans un monde fou sur et à côté de la route: vélo, camions, bus, voitures, piétons... Pour dépasser c'est à celui qui se rabattra le plus tard (il n'y a qu'une voie dans chaque sens). Bref qq émotions pendant ce trajet. On a aussi pris un ferry pour traverser le fleuve Padma car il n'y pas de pont.
A niveau paysage: des rizières et des champs la plupart du temps.
Shyamnagar c'est un peu le bout du monde, on a l'impression de ne jamais y arriver. C'est une petite ville, mais avec du monde partout!
Solidarités a loué un bureau mais pour le moment nous n'avons pas de maison alors on campe dans le bureau. Mais on a des lits et des matelas depuis hier soir donc ça se passe bien.
J'ai pu tester un restaurant local, apparemment ils sont tous pareils. Au menu: riz, poisson ou poulet, oeufs.
Ici on se déplace en taxi-vélo. C'est un vélo avec une plateforme à l'arrière où on peut monter à 4. Ils s'en servent aussi pour tout transporter, y compris les lits!
Au progamme de ce week end (et oui le week end c'est vendredi-samedi): du boulot! Il faut recruter rapidement si on veut commencer à travailler. Et demain je pense faire une petite visite terrain des villages où nous allons intervenir.
Alors à bientôt, avec des photos!
mercredi 13 janvier 2010
PARIS-DUBAI-DHAKA
Je suis donc arrivée hier soir à Dhaka, à 21h heure locale, après un (petit) arrêt de 7h environ dans l'aéroport de Dubaï, qui est quand même beaucoup plus confortable que celui d'Addis-Abeba! J'ai pu manger au Burger King, et il y a même une boulangerie Paul! Ceci dit tout n'est pas en or, c'est de la publicité mensongère! Et sur Emirates non plus. Certes le service est bien, la nourriture aussi, il y a des écrans individuels avec un très grand choix de films et autres, mais un avion reste un avion, avec pas plus de place que ça en classe éco, surtout au milieu d'une rangée de 4, donc j'ai pris l'option somnifère et dodo. Mais la First Class a l'air pas mal du tout.
Pour les connaisseurs, c'étaient des B-777 de Paris à Dubaï et également de Dubaï à Dhaka.
Le Duty Free de Dubaï doit être intéressant car les Bangladeshi avaient tous des énormes sacs avec eux dans l'avion. Du coup c'était un peu la crise du logement! Et ils ne sont pas très disciplinés: à peine les roues de l'avion posées ils étaient tous debout pour sortir de l'avion qui a encore roulé une dizaine de minutes.
Je n'ai pas vu grand chose de Dhaka mais la circulation est très bordélique pour rester polie! Premières sensations en allant faire des photos d'identité à 300m du bureau (à pied): pollution, monde, et beaucoup de difficultés à traverser le carrefour (en plus ils roulent à gauche!)
Demain je pars pour Shyamnagar, au sud-ouest du pays, où je serai basée; Environ 6h de route, bonnes a priori!
Aujourd'hui, journée bureau avec un réveil très dur à 10h...c'est à dire 5h pour mon pauvre organisme.
Je lis des CV et des tests pour recruter mon équipe technique: plus de 250 réponses pour le poste de responsable WASH, mais une grosse majorité sans aucune qualification technique. Du tri s'impose!
Voila pour cette première journée!
J'ai un ordinateur avec une clé 3G connecté sur le réseau Grameenphone, donc je devrais pouvoir donner des nouvelles assez souvent!
A bientôt
Pour les connaisseurs, c'étaient des B-777 de Paris à Dubaï et également de Dubaï à Dhaka.
Le Duty Free de Dubaï doit être intéressant car les Bangladeshi avaient tous des énormes sacs avec eux dans l'avion. Du coup c'était un peu la crise du logement! Et ils ne sont pas très disciplinés: à peine les roues de l'avion posées ils étaient tous debout pour sortir de l'avion qui a encore roulé une dizaine de minutes.
Je n'ai pas vu grand chose de Dhaka mais la circulation est très bordélique pour rester polie! Premières sensations en allant faire des photos d'identité à 300m du bureau (à pied): pollution, monde, et beaucoup de difficultés à traverser le carrefour (en plus ils roulent à gauche!)
Demain je pars pour Shyamnagar, au sud-ouest du pays, où je serai basée; Environ 6h de route, bonnes a priori!
Aujourd'hui, journée bureau avec un réveil très dur à 10h...c'est à dire 5h pour mon pauvre organisme.
Je lis des CV et des tests pour recruter mon équipe technique: plus de 250 réponses pour le poste de responsable WASH, mais une grosse majorité sans aucune qualification technique. Du tri s'impose!
Voila pour cette première journée!
J'ai un ordinateur avec une clé 3G connecté sur le réseau Grameenphone, donc je devrais pouvoir donner des nouvelles assez souvent!
A bientôt
mardi 12 janvier 2010
mardi 5 janvier 2010
Early recovery assistance to the most Aila affected people in Bangladesh
C'est le titre officiel du programme financé par ECHO (fond d'aide humanitaire d'urgence de l'Union Européenne) sur lequel je vais travailler.
Aila est un cyclone de classe I qui a frappé le Bangladesh le 25 mai 2009, faisant 190 morts, plus de 7000 blessés, mais également des dégats matériels énormes et plus de 500 000 déplacés.
Quelques infos:
-projet de 10 mois, du 15 janvier au 15 novembre 2010
-81600 bénéficiaires
-district de Shatkira, sud-ouest du Bangladesh
-réhabilitation et construction d'abris pour les victimes du cyclone
-amélioration de l'accès à de l'eau potable de qualité
-amélioration de l'accès à des infrastructures d'assainissement (latrines, douches pour femmes)
-budget de 400000€
Aila est un cyclone de classe I qui a frappé le Bangladesh le 25 mai 2009, faisant 190 morts, plus de 7000 blessés, mais également des dégats matériels énormes et plus de 500 000 déplacés.
Quelques infos:
-projet de 10 mois, du 15 janvier au 15 novembre 2010
-81600 bénéficiaires
-district de Shatkira, sud-ouest du Bangladesh
-réhabilitation et construction d'abris pour les victimes du cyclone
-amélioration de l'accès à de l'eau potable de qualité
-amélioration de l'accès à des infrastructures d'assainissement (latrines, douches pour femmes)
-budget de 400000€
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